Meryem Chadid a hissé le drapeau Marocain sur le pôle sud
Paris - "Le drapeau marocain flotte depuis quelques jours au pôle Sud, à plus de 3.000 mètres d'altitude", écrit l'hebdomadaire "Jeune Afrique" dans son dernier numéro, précisant que c'est Meryem Chadid, astronome à l'observatoire de la Côte d'Azur qui l'y a planté.
Merieme Chadid portant le drapeau marocain sur le sol Antarctique.
Dans un article intitulé "Une Marocaine sur la banquise", le magazine note que si elle n'est pas la première femme à séjourner dans l'Antarctique, Mme Chadid, également enseignante à l'université de Nice-Sophia-Antipolis, est la première à atteindre le pôle.
Après une maîtrise de physique à l'université de Casablanca, Mme Chadid entame un troisième cycle à Nice, en 1994 et devient ingénieur astrophysicien au centre national de la recherche scientifique (CNRS), relève la publication, ajoutant qu'après quatre ans de recherches dans le désert chilien, d'Atacama, elle rentre en France et passe le concours de la fonction publique pour devenir astronome.
"J'ai été reçue en dépit de ma nationalité étrangère, grâce, m'a-t-on expliqué, à mes compétences", a-t-elle confié à "Jeune Afrique".
En décembre 2005, Mme Chadid part avec une vingtaine de chercheurs pour une mission de plus de deux mois au pôle Sud.
"C'est mon mari, l'astrophysicien Jean Vernin, qui est à l'origine du projet. Son but: étudier le site en vue de l'installation d'un télescope pour observer le scintillement des étoiles", explique l'astronome marocaine.
Paris - "Le drapeau marocain flotte depuis quelques jours au pôle Sud, à plus de 3.000 mètres d'altitude", écrit l'hebdomadaire "Jeune Afrique" dans son dernier numéro, précisant que c'est Meryem Chadid, astronome à l'observatoire de la Côte d'Azur qui l'y a planté.
Merieme Chadid portant le drapeau marocain sur le sol Antarctique.
Dans un article intitulé "Une Marocaine sur la banquise", le magazine note que si elle n'est pas la première femme à séjourner dans l'Antarctique, Mme Chadid, également enseignante à l'université de Nice-Sophia-Antipolis, est la première à atteindre le pôle.
Après une maîtrise de physique à l'université de Casablanca, Mme Chadid entame un troisième cycle à Nice, en 1994 et devient ingénieur astrophysicien au centre national de la recherche scientifique (CNRS), relève la publication, ajoutant qu'après quatre ans de recherches dans le désert chilien, d'Atacama, elle rentre en France et passe le concours de la fonction publique pour devenir astronome.
"J'ai été reçue en dépit de ma nationalité étrangère, grâce, m'a-t-on expliqué, à mes compétences", a-t-elle confié à "Jeune Afrique".
En décembre 2005, Mme Chadid part avec une vingtaine de chercheurs pour une mission de plus de deux mois au pôle Sud.
"C'est mon mari, l'astrophysicien Jean Vernin, qui est à l'origine du projet. Son but: étudier le site en vue de l'installation d'un télescope pour observer le scintillement des étoiles", explique l'astronome marocaine.